06/03/2009
LA CRISE... et les crises : quels liens ?
....inspiré du texte de jean claude Milner paru dans le monde du 15 juillet 2009 "après la crise quelle(s) révolution(s )?
Si on remonte toujours plus vers l'amont dans la chaîne des "systèmes" humains mis en place dans le "Système"
On part de la :
--> 1 crise bancaire .. qui révèle en fait une -->
à 2 crise du système finance --> puis encore en amont -->
à 3 une crise du système USURE -création de monnaie par le crédit et
- détournement de celui- ci de la production vers la seule rentabilité financière
- avec toutes ses conséquences sur le chômage, les délocalisations,
- la mise en esclavage économique du sud ...etc... --> Ce debat écono-philosophique rèvèle --
à 4 un crise du système sapiens = l'humain
· causes ? cupidité, ou système concentrationnaire de la monnaie unique et monopolistique (état)?
· remèdes ? connaissances et liberté --> responsabilité de choix ) --> qui révèle
à5 Une crise spirituelle
· absence de sens : toutes les idéologies systèmiques (sectes institutionalisées en systèmes et dogmatisées ) ayant failli par rapport à La VIE (et sa bio-logique )car
· ayant mis le "pouvoir-sur- les-consciences" et "la peur » comme objectifs prioritaires avant d'y instiller par l’éducation positive "celui de la confiance en L'homme" et en "l'élan créatif de la Vie" .
· Elan = (pulsion de vie )dont chaque individu possède l'Intuition,
· lorsqu'il n'est pas coupé de la NATURE et de sa responsabilité envers elle ("terre-mère"des sociétes primordiales ... sociétés esclavagisées puis décimées par homo économicus en toute " bonne conscience " ..conscience du moment et des croyances en cours ..!
L’une des principales préoccupations de l’homme est de satisfaire ses besoins essentiels. La croissance économique, résultat du progrès technique, a permis à une partie de l’humanité d’accéder à un niveau de confort matériel sans précédent. Le problème de cette croissance illimitée est qu’elle n’est pas viable, ni généralisable mondialement.
En premier lieu, les énergies fossiles, indispensables au développement économique, sont limitées. Ensuite, les pollutions industrielles, agricoles et domestiques sont responsables de dérèglements écologiques, climatiques et de maladies qui menacent la survie des générations présentes et à venir. Enfin, cette croissance n’a fait qu’augmenter les inégalités entre les riches et les pauvres.
C’est pourquoi, en ce début du 21ème siècle, afin d’éviter ces désastres économiques sociaux et environnementaux annoncés, les populations des pays industrialisés seront obligées, à court terme, de changer leur modèle de développement économique et leur mode de vie matérialiste.
Face à ce constat alarmiste, nombreux sont ceux qui se demandent « que faire » ? Comment agir ? Comment changer notre mode de vie et nos habitudes de consommation ostentatoire et outrancière, sans régresser quant à la qualité de vie ? Certains, des avant-gardistes, « objecteurs de croissance », « décroissants », ont déjà commencé à conceptualiser, à expérimenter et à mettre en pratique de nouvelles manières de vivre au quotidien, que ce soit sur un plan individuel ou collectif.
Certains parlent ainsi désormais de" principe ou raison du plus faible" (jean-marie PELT ) en lieu et place de la loi primitive du plus fort...
les rubriques de ce blog sont des outils à la disposition de cette réflexion.......
12:09 Publié dans ECONOMIE, mondialisation décroissance | Lien permanent | Commentaires (0)
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