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12/07/2018

En tout temps difficile...LES MIGRANTS

 

EXODE, EXIL…LES MIGRANTS

        -->  Sapiens a toujours migré

       -->   Et pourtant il y a de plus en plus d’ emigrés qui sans papiers sont coincés et ne peuvent plus migrer, Ils sont donc arrêtés, sans pouvoir rejoindre leur horizon d’espoirs, aux lieux dits « Purgatoire »

        

    • « Le bonheur est dans le pré cours y vite cours y vite [1]»
    • C’est pour cette utopie que nos ancêtres ont fui, 
    • Qu’ils firent choix de l’exil, de l’exil contraint, 
    •  Sans objection possible à l’instinct de survie.        
  • Escomptant un MEILLEUR, « Ouvert à l’ESPERANCE »[2]
  • Ils espéraient trouver, l’abri et le refuge
  •  Les prairies lumineuses des FUTURS DESIRABLES ».     
  • Ces FUTURS d’ESPERANCE »....dénommés… « PARADIS ».

     

  • Ils fuyaient l’étroitesse de ceux qu’ils dérangeaient,                                                                       
  • Mais encore la famine… la bêtise, l’étroitesse,   
  • Les ferments de la haine, des jalousies guerrières, 
  • Toutes les dissemblances qui forgent le rejet.

 

  • -->   Ce siècle XXI qui disloque le MONDE,  
  • Où les sciences florissantes côtoient l’obscurantisme,  
  • Nous révèle à nous-mêmes dans nos incohérences Carences d’empathie[3]
  • Déficit de conscience…

 

  • L’un refoule le migrant …quand l’autre le détrousse. 
  •  Destins Destins incompatibles « magiquement jugés »[4] ?                                                                                                                                          
  • L’un enfle à en mourir quand l’autre meurt de faim,
  • L’un naît en « Bien-Seillance » l’autre en dénuement.

 

  • Châtiment mérité voire indulgence divine !?
  •  Ainsi en va « le monde qui a changé le monde »
  • Image et apparences « Qui rendent blanc ou noir ».[6] 
  • Néolibéralisme qui juge en point de PIB[5]

 

  • Serions-nous quelque part désensibilisés ?
  • Malades ignorants de cette pathologie
  • Qui nous rend consentants à la déliquescence                                                      
  • De la SORORITE[7], NOTRE sororité[8]?

ET pourtant …                                                                                                                                  

 

  • IL semble[9] que nous ayons, enfoui au plus profond
  • Cette intuition sublime, que nous sommes chacun,
  • Semblable et différent, mais porteur d’un projet                                                                           
  •  «  A nul autre identique  » qui s’impose à notre ÂME et… sa FORCE de VIE ». 

 

  • Nos ancêtres, furent tous dans un passé commun,
  • Tantôt le prédateur[10] , bien plus souvent la proie, 
  • la victime, le bourreau et parfois le sauveur … 
  • Histoire de défiance ? De méfiance ? De confiance….                                                                                                                                                                  
  • Soumis aux injonctions d’un cerveau archaïque[11],                                          
  • Sous-jacent et robuste[12], l’esclavage primitif survit
  • Dans les rapports sociaux. Destin inexorable
  •  Prestement ratifié, par l’esprit ignorant[13].

 

Nous avons hérité d’un cerveau mammalien[14],Possesseur et porteur de signaux spécifiques,D'Indices émotionnels pour guider nos actions, Perceptions, projections, décisions de survie. 

 

  • Ressentis spontanés, que tous, nous partageons[15]
  •  Puisque l’Evolution a conservé en nous,  
  • DES bio-signaux d’alerte, ces signaux de confort et de sécurité,
  • Les signes du bien-être de bonheur escompté par nos consciences acquises.

 

  • Ayant tous ressenti, hors transmission perverse…,
  • le sentiment de JOIE, D’être relié au TOUTEntrevu la lumière des sphères spirituelles
  • Que seule peut percevoir l’INTUITION …préservée.[16]
  • Ressenti LA Conscience, le principe de RESPONSABILITE

 

  • ALORS ? Où donc, en sommes–nous[17] de ce parcours Humain, de Cœur Et de Conscience ?
  • Qu’en avons-nous donc fait, nous, l’espèce régente 
  • Rationnelle, se dit-elle quand pourtant la voici,
  • Désensibilisée [18]aux œuvres mortifères ?

 

  • Le « bestial animal »[19] sauve toujours sa peau,
  • Au détriment de l’autre.
  • Il semble et cela pose…
  • Aujourd’hui LA QUESTION

       --->  LA QUESTION de ce temps ivre de paradoxes, d’injonctions schizoïdes et « Brouillantes [20]» ?

             

  • Serait-il établi, et pire…irrévocable
  • Ce constant dérangeant, plus que « hallucinant » …,
  • Que dans « l’espèce humaine, à ce stade [21]confirmée »,
  • Les « femelles futiles » et les « pires prédateurs  
  • Auraient seuls survécu ? Réussi à faire souche ?
  • Au détriment des faibles ? Des êtres vulnérables ?
  • Des doux, des Non-Violents ?
  • Par le seul truchement des choix,
  • Encore barbares, que vécurent ou subirent [22] leurs ancêtres,
  • Constituant alors, les extrêmes insolubles, du

« Terreau terrifiant des terriens »?

Peut-être

  • Métissages  égotiques de petits « avatars » ?
  • Animaux corrompus à conscience avilie ?
  • OU…alors ?
  • En voie d’obsolescence… ou… de déliquescence?
  •        … ?

Geneviève Vens- Wagner     8 juillet 2018 11h32

 

[1] Paul FORT

[2] Les peurs, l’humiliation, la barbarie, la jalousie haineuse, la vengeance, l’ignorance …le déficit d’empathie, le déficit de transmission culturelle…en résume : l’absence d’AMOUR   (comme l’avait dit, à sa façon Einstein)

[3] Les « neurones miroirs » qui en sont le substrat, peuvent être éduqués s’ils sont sous activés pour des causes diverses (innée autant qu’acquises)

[4] = De préjugés

[5] PIB produit intérieur brut qui ne juge que flux et quantité d’argent qui circulent… mafia, prostitution, cataclysmes entrent dans le calcul

[6] La fontaine « Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blancs ou noirs »

[7] Sororité = fraternité = conscience rationnelle que toute forme de vie est nécessaire et essentielle aux autres

[8] Fraternité nouvelles (initiée par les sciences) des espèces vivantes, toutes « Poussières ‘étoiles »

[9] C’est en fait, le nouveau PARADIGME en EMERGENCE subversive et pour cela DENIé

[10] Soumis aux injonctions du cerveau archaïque

[11] Le cerveau des sauriens -de l’ère secondaire. Ce Cerveau primitif, ancestral, «  Automate » de survie, dit aussi « cerveau REPTILIEN » est le socle archaïque mais « ROBUSTE » de notre Emotionnel. Il   ignore par réflexe, le supplément d’âme venu du rationnel préfrontal) qui lui est connecté à toutes nos consciences ….

[12] Expression empruntée au vocabulaire informatique

[13] Voir notes précédentes + note 4. E sprit non pas ignorant mais «  ENCORE » ignorant …

[14] Celui des reptiles mammaliens = l’une des 2 lignées de nos ancêtres Dinosaures = 225 millions d’annnées pour cela.

[15] Exemples : Testostérone-combat, œstrogènes de soutien, Ocytocine du lien, sérotonine du rêve et du bien- être, etc…                                                                                            

 

[16] Scientifiques et artistes savent bien que l’intuition précède, et la science et la création :

(La science vérifie a posteriori …l’artiste lui, manifeste, dans sa création l’émotion authentique et sincère du cerveau supérieur ouvert à nos consciences   (conscience individuelle + conscience élargie …)                            

[17] Sapiens, Sapiens = Nous - mêmes les humaines pensons savoir que «  nous savons). On le sait tous ? …On ne veut pas le savoir ? …Ou on s’en fout ?

[18] De son seul fait et par surpoids rationnel et lourdeur mentale

[19] Qui ne devrait plus être que lointain souvenir, marquage résiduel d’un passé révolu (Selon l’évolution bio-cosmologique)

[20] C’est l’histoire de «  l’espace de cerveau disponible » si « cher » au consumérisme.

[21] Stade de « l’Humanisation aboutie » … (autodecrétée par le juge et partie = Sapiens sapens )

[22] Faute d’ignorer ce que nous ont révélé les sciences cognitives (Nous avons TOUT en main, nous avons les outils …RESPONSABILITE ; CONSCIENCE désormais éclairée ;…à condition qu’elle soit éduquée et transmise par transmission cumulative chez les sapiens rendus insensibles par un environnement déNATURé.

 

03/04/2018

Souffrance éthique, conflit de valeurs et immunité déprimée.....civilisation malade ?

Souffrance éthique : la douleur de renier ses valeurs. travail et qualité de vie

Réflexions sur le travail, la législation, le fonctionnement de l'entreprise, le management et la GRH   en date du  6 avril 2016  CF GRH, Santé et QVTéthique, conscience, morale, valeurs

Ce qui suit est un copié collé  (texte et illustrations) à visée éthique et responsable et donc pour INFORMATION SYSTEMIQUE  du site ci-dessus nommé = « Travail et qualité de vie, la souffrance éthique ».

"A côté du très médiatique burn-out, du stress ou du harcèlement moral, il y a une souffrance psychique dont on parle peu : la souffrance éthique. Selon les chercheurs, ce mal se serait aggravé depuis les années 1980 qui marquent le début de la course à la performance financière et au profit. C’est une jurisprudence récente qui me donne l’occasion d’évoquer ce dilemme intérieur qui peut affecter profondément un salarié.

La reconnaissance des pathologies psychiques : un petit pas.

Le rapport de 2012 du gouvernement sur les pathologies psychiques liste trois types de pathologies susceptibles d’être prises en compte : la dépression, l’anxiété et les états de stress post-traumatiques.

Comme vous l’aurez constaté, le burn-out n’est pas concerné malgré le débat récent durant le projet de loi Rebsamen et l’implication du député Benoît Hamon qui avait déposé, avec 83 autres parlementaires, un projet de loi en février 2016.

Peu de place pour le cas de conscience en entreprise.

Alors évidemment, dans ce contexte, le mal-être d’un salarié contraint de renier ses valeurs, de faire taire sa morale pour conserver son travail n’a que peu de poids ! Pourtant, certains salariés, quand leur poste le leur permet, osent braver les directives de l’employeur et agissent comme le leur dicte leur voie intérieure : c’est l’objection de conscience. Le cas le plus médiatique est celui d’un technicien de Véolia qui a été licencié car il refusait de couper l’eau des clients les plus démunis. Son cas a permis au gouvernement de prendre conscience du problème et la loi Brottes – instaurant un « droit à l’eau » – a été votée en 2013.

“Le seul esprit libre et indépendant est celui qui ne se soucie pas des conséquences quand il a la certitude d’avoir été fidèle à ses valeurs !” Laurent Martinez

La souffrance éthique ne doit pas être interprétée comme la « lubie » passagère d’un salarié ou une faiblesse. Des chercheurs en psychopathologie, psychologie et sociologie du travail se sont penchés sur cette souffrance dont on parle peu. Le conflit de valeurs « fait partie inhérente de la vie organisationnelle » et on le décèle dans de nombreux secteurs d’activité et à différents niveaux hiérarchiques.

La souffrance éthique est définie par Christophe Dejours comme la souffrance qui résulte de la réalisation d’actes que le salarié réprouve moralement. 

« Chaque individu doit se forger ses propres outils, ses propres valeurs, s’il ne veut pas se transformer en zombie. » Claude Michelet

Les salariés ne sont pas des robots.

Chaque personne ayant ses propres valeurs, les conflits de valeurs sont inévitables au sein d’une équipe où interagissent plusieurs salariés. Troquer une valeur importante pour soi par celle imposée par son supérieur ou être tiraillée entre diverses valeurs, génère un malaise (honte, frustration, culpabilité, colère) difficile à gérer à la longue.

Une valeur, inhérente à chaque personne, est définie comme « une croyance assez durable, issue de notre socialisation, qu’un certain état de fait est souhaitable, préférable à l’autres. (..) Les valeurs ont aussi un rôle important de motivation et constituent des principes guidant l’action et justifiant les décisions ». (source)

Je l’ai brièvement évoqué dans l’article sur l’image employeur : l’écart entre valeurs affichées et valeurs vécues est une déconvenue pour le salarié fraîchement recruté qui peut se transformer en mal-être chez celui dont le métier évolue non conformément à l’idée qu’il s’en faisait.

Ce fut le cas de cet enseignant qui a mis fin à ses jours car l’écart entre les conditions de pratique et l’idée qu’il se faisait de son métier et de sa mission était trop important : « le métier tel qu’il est devenu » ­ne lui était « plus acceptable en conscience ». (source)

C’est également le cas lorsque les exigences organisationnelles (et financières) éloignent l’infirmière de son idéal de soin et l’obligent à réduire le temps consacré à l’écoute et à la présence affective auprès des patients, engendrant un vrai désarroi. La constatation de la baisse de la qualité des soins questionne le travail réalisé et oppose valeurs professionnelles, morales et injonctions paradoxales de la direction engendrant ainsi la perte de sens du métier.

« On ne dit plus toute la vérité aux familles. Les soignants sont amenés à apporter leur concours à des actes qu’ils réprouvent. D’où leur souffrance éthique : on ne trahit pas seulement les règles du métier, on se trahit soi-même. Jusqu’à la haine de soi parfois, chez les médecins qui se suicident.» rapporte le professeur Dejours à propos d’une étude qu’il mène dans un hôpital.

Une enquête en psychologie clinique du travail menée dans le secteur public a mis en lumière la souffrance éthique des chargés de communication travaillant dans une administration. Contraints de relayer des informations plus ou moins manipulatrices ou travestissant la réalité, ils sont dans une « situation psychique difficilement supportable ». Les agents ont du mal à faire face à la distorsion de message entre communication interne et externe, à la censure, malgré les exigences affichées de transparence.

C’est un conflit de loyauté qui a fait basculer la vie de la directrice départementale de la P.J.J (protection judiciaire de la jeunesse) de Paris. Comment choisir entre loyauté envers son administration et celle envers ses idéaux, sa conception de la mission éducative de l’institution ?  Accablée par les conséquences nocives des directives qu’elle met en œuvre avec zèle, elle se jette par la fenêtre de son bureau au 3° étage…

Dans ce centre d’appels, certains téléconseillers ne supportent pas de « vendre du vent » et ne savent plus comment gérer les clients mécontents dont ils partagent les points de vue.

Une cadre bancaire désapprouve les agissements des conseillers qui « vendent » des prestations et services qui risquent de générer des difficultés financières aux clients…

N B : La présence majoritaire d’exemples portant sur le secteur public est totalement fortuite.

Ce qu’il faut retenir c’est que le salarié est une personne. En réalisant les tâches qui lui incombe, il engage sa sensibilité, il met en jeu ses valeurs et le malaise sera d’autant plus grand qu’il y est profondément attaché. Les questions éthiques au travail ne peuvent pas être balayées d’un revers de main. Or s’épancher sur son dilemme n’est pas bien vu…

« Le bien pour l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu. » Aristote in « Ethique  à Nicomaque »

J’évoquerais dans un second article, l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 14 octobre 2015 ainsi que des pistes pour tenter d’apaiser ces conflits internes (au salarié) et intérieurs (à l’organisation).

Bibliographie / pour aller plus loin :

CONCLUSION

Observez autour de vous, constatez, réfléchissez, agissez ne serait qu’en TRANSMETTANT …à vos proches congénères ...humanisés

10/11/2012

Résumé perso = "Les confessions d'un assassin financier" John PERKINS Editions ALTERRE

« Les confessions d’un assassin financier » John Perkins   Editions Alterre

 

C’est l’autobiographie en forme d’autocritique assez complaisante ( Quoiqu’il en dise )

D’un consultant-conseiller financier auprès des gouvernements des pays en développement

 (Un des 5 conseillers économiques les plus puissants de la planète – nous confie-t-il -)   

Devenu conseiller malgré lui, par le hasard des circonstances et des rencontres  à l’âge de 26 ans,

Avec pour seul passeport de compétence 3 années de fac sanctionnées par une petite licence en économétrie.

 

Cette biographie me fait penser au cursus d’une amie recrutée  à la même époque par un labo pharmaceutique après son échec en première année de médecine... On lui demandait un vernis de connaissances surtout pas de connaissances approfondies lesquelles auraient pu éveiller en elle un soupçon d’esprit critique ou de contestation.

 

C’est un américain pur jus qui croît au rôle salvateur et civilisateur de son pays.

Jeune et grand naïf, car  ignorant de lui-même, de ses motivations profondes et de ses appétits de vie.

Une éducation repliée sur sa communauté familiale, socialement étriquée, sexuellement  puritaine, et sans ouverture spirituelle l’avaient fait rêver de se distinguer, et mieux de s’envoler, gonflant ainsi fantasmatiquement son égo d’enfant unique à l’univers trop fermé.

 

Il faisait partie d’un système qui le payait grassement qui l’endoctrinait sur les bonnes actions qu’il réalisait, qui flattait son ego, satisfaisait ses besoins, ses pulsions de pourvoir et de reconnaissance..Il n’avait pas encore le recul de l’expérience, l’esprit critique de la maturité, ni l’esprit de responsabilité qui parfois n’émerge qu’avec la paternité quand, on parvient à comparer enfin l’avenir rêvé pour son enfant à celui que l’on a participé à produire ou le plus souvent à reproduire ….

 

Il réalise un jour qu’il travaille en fait pour ce qu’il appelle « l’empire global » celui de l’Amérique impérialiste et donneuse de leçons, celle qui travaille à enrichir ses seules entreprises tout en  s’assurant de la relocalisation intra muros de tous les pétrodollars qu’elle produit ( sans aucun lien d’ailleurs avec ses réserves en or comme c’était le cas au début du capitalisme ) ;

Qu’il travaille pour un pays finalement infantile et parano qui veut se protéger lui-même et lui seul, de toutes les retombées perverses  de ses politiques économiques. Maintenant que ce pays  a compris  (via les attaques et le rejet à son encontre de tous les pays dont il s’est assuré l’allégeance ) que le bonheur n’est plus en relation directe, nécessaire  et suffisante avec le développement technologique.

Pays qui se réveille et  réalise  qu’il ne peut plus ni sortir ni se passer de ce confort qu’il s’est assuré par son impérialisme planétaire ;

Pays qui sait  qu’il aura besoin pour cela de toujours plus d’énergie et de ressources naturelles qu’il ne possède plus  ou auxquelles d’autres ont accès au même titre que lui.

  

C’est donc une compétition pour sa survie et la conservation de son modèle politico-économique auquel il se livre selon la seule loi du plus fort qu’il revendique qui plus est idéologiquement… «  GOD BLESS US  ».

 

John Perkins écrit  en épilogue «  dites le à votre famille à tous vos amis, passez le mot à tout le monde » …passez de la croissance ..à la décroissance  … «  le monde est tel que nous le rêvons »  aussi  changeons de rêve  dit-il (Dream-change est aujourd’hui  son association humanitaire   www.dreamchange.org   qui aide les tribus amazoniennes à se  débattre contre les «  chacals» des sociétés pétrolières, lesquelles tentent de s’approprier les terres vivrières pour ces peuples mais qui abritent la nappe pétrolifère amazonienne aux réserves estimées supérieures à celles de l’Arabie saoudite.

 

Voilà qui est fait  

Geneviève vens-wagner