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10/03/2009

économie: Voilà ce que dirait le psy

 

Toutes les logiques humaines se tiennent,  à l'instant culturel T , car elles maintiennent alors,  un "système en cohérence" ,

 

En cohérence  avec la survie des protagonistes qui en vivent ou qui y survivent, 

ainsi que le montre l'équilibre éco-bio-logique  (voir rubrique  economie  et /ou mondialisation ) ci dessous .

 

la crise financière mondiale actuelle est en fait une crise de déficit ...spirituel (crise anthropologique )

 

 

 Si on remonte toujours plus vers l'amont  dans la chaîne des "systèmes" humains mis en place  :

 on part de la  --> 1 crise bancaire .. qui révèle en fait une -->  2 crise du système finance --> puis encore en amont --> 3 une crise du système USURE  -création de monnaie par le crédit et detournement de celui ci de la production vers la seule rentabilité financière  et toutes ses conséquences sur le chomage, les délocalisations, la mise en esclavage économique du sud  ...etc... --> Ce debat écono-philosophique  rèvèle  --> 4 un crise du système sapiens = l'humain ( causes ? cupidité, avidité /  remèdes ? connaissances et liberté --> responsabilité de choix  ) --> qui révèle  5 une crise spirituelle  ( absence de sens : toutes les idéologies systèmiques  (sectes institutionalisées en systèmes   et dogmatisées ) ayant failli par rapport  à La VIE  (et sa bio-logique )car ayant mis le "pouvoir-sur- les-consciences" et "la peu"r comme objectifs prioritaires avant d'y mettrer "celui de  la confiance en L'homme" et en "l'élan créatif de la Vie" .

Elan  (pulsion de vie )dont chaque individu possède l'Intuition, lorsqu'il n'est pas coupé de la NATURE et de sa responsabilité envers elle ("terre-mère"des sociétes primordiales ... sociétés esclavagisées puis décimées par homo économicus en toute " bonne conscience " .. du moment et des croyances en cours ..!

 

 

06/03/2009

LA CRISE... et les crises : quels liens ?

 

 ....inspiré du texte de jean claude Milner paru dans le monde du 15 juillet 2009  "après la crise  quelle(s) révolution(s )?

 

Si on remonte toujours plus vers l'amont  dans la chaîne des "systèmes" humains mis en place  dans le "Système" 

 

 On part de la :

--> 1 crise bancaire .. qui révèle en fait une --> 

à 2 crise du système finance --> puis encore en amont -->

à 3 une crise du système USURE  -création de monnaie par le crédit et

  • détournement de celui- ci de la production vers la seule rentabilité financière 
  • avec  toutes ses conséquences sur le chômage, les délocalisations,
  • la mise en esclavage économique du sud  ...etc... --> Ce debat écono-philosophique  rèvèle  --

à 4 un crise du système sapiens = l'humain

·         causes ? cupidité, ou système concentrationnaire  de la monnaie unique et monopolistique  (état)? 

·         remèdes ? connaissances et liberté --> responsabilité de choix ) --> qui révèle

à5  Une crise spirituelle 

·          absence de sens : toutes les idéologies systèmiques  (sectes institutionalisées en systèmes   et dogmatisées ) ayant failli par rapport  à La VIE  (et sa bio-logique )car

·          ayant mis le "pouvoir-sur- les-consciences" et "la peur » comme objectifs prioritaires avant d'y instiller par l’éducation positive  "celui de  la confiance en L'homme" et en "l'élan créatif de la Vie" .

 

·         Elan  =  (pulsion de vie )dont chaque individu possède l'Intuition,                     

·         lorsqu'il n'est pas coupé de la NATURE et de sa responsabilité envers elle ("terre-mère"des sociétes primordiales ... sociétés esclavagisées  puis décimées par homo économicus en toute " bonne conscience " ..conscience  du moment et des croyances en cours ..!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’une des principales préoccupations de l’homme est de satisfaire ses besoins essentiels. La croissance économique, résultat du progrès technique, a permis à une partie de l’humanité d’accéder à un niveau de confort matériel sans précédent. Le problème de cette croissance illimitée est qu’elle n’est pas viable, ni généralisable mondialement.

En premier lieu, les énergies fossiles, indispensables au développement économique, sont limitées. Ensuite, les pollutions industrielles, agricoles et domestiques sont responsables de dérèglements écologiques, climatiques et de maladies qui menacent la survie des générations présentes et à venir. Enfin, cette croissance n’a fait qu’augmenter les inégalités entre les riches et les pauvres.

C’est pourquoi, en ce début du 21ème siècle, afin d’éviter ces désastres économiques sociaux et environnementaux annoncés, les populations des pays industrialisés seront obligées, à court terme, de changer leur modèle de développement économique et leur mode de vie matérialiste.

Face à ce constat alarmiste, nombreux sont ceux qui se demandent « que faire » ? Comment agir ? Comment changer notre mode de vie et nos habitudes de consommation ostentatoire et outrancière, sans régresser quant à la qualité de vie ? Certains, des avant-gardistes, « objecteurs de croissance », « décroissants », ont déjà commencé à conceptualiser, à expérimenter et à mettre en pratique de nouvelles manières de vivre au quotidien, que ce soit sur un plan individuel ou collectif.

Certains parlent ainsi désormais de"  principe ou raison du plus faible" (jean-marie PELT ) en lieu et place de la loi primitive du plus fort...

les rubriques de ce blog sont des outils à la disposition de cette réflexion.......

" Nous y sommes "par Fred Vargas

 Nous y voilà, nous y sommes,depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité,

 Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal.

Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance.
 Nous avons chanté, dansé.
 Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine.
 Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures,

nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout du monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits,

nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie,

créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.
On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre,

déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
 Franchement on s'est marrés.
 Franchement on a bien profité.
 Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.
 Certes.
 Mais nous y sommes.
  
A la Troisième Révolution.
 Qui a ceci de très différent des deux premières ( la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.
 « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.
 Oui.
 On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés

jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.
  
Son ultimatum est clair et sans pitié :
Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).
  
Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
 Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux.
 D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance.
 Peine perdue.
  
Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais :  Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, – attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille – récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).
 S'efforcer. Réfléchir, même.
 Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.
 Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.
 Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
 Pas d'échappatoire, allons-y. Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible. A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie –une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peutêtre.
 A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
 A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.
  
Fred Vargas

 

 

D’après Jacques Attali le moteur du capitalisme c’est la CUPIDITE, l’avidité.

Mais c'est aussi le SYSTEME lui même qui génère et entretient la dynamiquedu moteur capitaliste .

Ce système  fonctionne:

  1. A la commission  (pour les investissements), poussant à "toujours plus"!
  2. Mais c'est aussi l'institution du monopole étatique de la monnaie unique qui institue
  •  une demande unilatérale sans concurrence (il n'y a pas de monnaies complémentaires ) et 
  •  le sous-système des intérêts d'emprunts.
  • Il en résulte mécaniquement un système concentrationnaire : ceux qui ont le capital de départ en auront toujours plus.Ceux qui n'ont pas ce capital emprunteront avec intérêts et en auront mécaniquement toujours moins .                                                                                                                                                                                urquoi C'est pourquoi aujourd'hui on observe effectivement que 5 % des plus riches possèdent 80% des actifs planétaires . (voyez http://www.dailymotion.com/video/x7w0dq_les-monnaies-complementaires-en-eur_news )